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Le Centre international pour la recherche et les droits de l’homme (BIC) basé à Bruxelles est le véhicule émirati du blanchiment d’argent pour payer les députés

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Le Brussels International Center for Research and Human Rights (BIC) est une ONG de la scène bruxelloise créée et financée par les EAU pour servir d’outil de rémunération des politiciens. En d’autres termes, l’organisation est utilisée comme un outil pour blanchir de l’argent et payer des eurodéputés au nom des Émirats arabes unis. L’organisation a été inscrite au registre de transparence de l’UE en mars 2017. Elle prétend être une « organisation indépendante à but non lucratif engagée dans le développement de solutions à la fragilité économique et aux conflits au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. L’organisation a récemment eu un fort impact sur les processus décisionnels de l’UE.

BIC se concentre sur la promotion des droits de l’homme au Moyen-Orient

BIC prétend être une organisation neutre et impartiale qui soutient les EAU depuis longtemps. L’organisation s’est concentrée sur la promotion des droits de l’homme aux Émirats arabes unis et en Afrique. Le travail proclamé de suggère qu’ils travaillent pour la protection des victimes du terrorisme. Mais BIC travaille avec les Émirats arabes unis pour promouvoir des droits de l’homme qui n’existent pas dans le pays et est utilisé comme un moyen de soudoyer des politiciens et des députés européens à Bruxelles.

L’ONG reste ambiguë sur son financement

Les activités de l’UE sont fortement influencées par le BIC. L’ONG se concentre sur l’observation internationale des élections et la migration des réfugiés. Ils exigent de protéger les personnes qui ont été confrontées à la violence dans différentes parties du monde, y compris aux Émirats arabes unis. Le site officiel de BIC indique qu’il “ne pousse aucun intérêt politique ou commercial spécifique”, mais la source de financement de l’ONG est inconnue.

Depuis 2018, le revenu total annuel de l’ONG est compris entre 300 000 € et 400 000 €. Tous ces revenus proviennent de dons des Émirats arabes unis. Le conseil d’administration n’a aucune contribution aux frais de rapports et d’événements. Il n’y a pas non plus de rapports concernant le financement sur leur site Web. Ce n’est un secret pour personne que l’ONG a reçu des fonds secrets des EAU. Bien qu’il n’y ait aucune preuve de la même chose, les énormes sommes d’argent transférées sur divers comptes de cette ONG ont suscité des inquiétudes et des soupçons.

Quels députés sont payés par BIC et comment l’argent est sécurisé

Urmas Paet MdPE (Estonie, Renew Europe), Manolis Kefalogiannis MPE (Grèce, PPE), Vangelis Meimarakis MPE (Grèce, PPE), Antonio López-Istúriz White MPE (Espagne, PPE), Radosław Sikorski MPE (Pologne, PPE), Edina Tóth députée européenne (Hongrie, PPE / non-inscrit) et la députée verte Hannah Neumann. Les députés européens nommés ci-dessus ont été payés en espèces par le directeur du BIC, Ramdan Abu Jazar, qui travaille directement sous la supervision de l’ambassadeur des Émirats arabes unis à Bruxelles. Les députés européens sont des lobbyistes actifs pour les Émirats arabes unis et sont connus pour leur soutien constant au pays.

Des millions d’euros affluent au BIC et l’ONG a employé plus de 100 personnes avec un statut consultatif spécial à l’ONU. L’organisation a également des privilèges de lobbying dans l’UE et a conclu un accord de coopération avec l’Union africaine. Ils entretiennent une vision favorable de l’Égypte et soutiennent la situation des droits de l’homme aux Émirats arabes unis. Il a joué un rôle important pour aider les Émirats arabes unis à être classés au 13e rang des meilleurs pays du monde.

La police norvégienne a mené une enquête sur le réseau mondial a reçu de l’argent des Émirats arabes unis. GNRD était un restaurant clé pour BIC. Depuis 3 ans, l’organisation est financée par les EAU. On soupçonne que le financement provient du président du GNRD, Loai Mohammed Deeb et Mohammed Dahlan. On dit également que le politicien palestinien et ancien chef de la sécurité palestinienne a travaillé comme conseiller du prince héritier des Émirats arabes unis Mohammed bin Zayed.

Les autorités d’Abu Dhabi ont également refusé de coopérer sur le même sujet. Mohammed Loai Deeb est Norvégien-Palestinien et il vit maintenant en Norvège. Il a travaillé comme agent de sécurité dans un aéroport et a ensuite démissionné pour créer de nombreuses organisations à but non lucratif. Il y a environ 15 millions d’euros qui ont été versés sur divers comptes bancaires contrôlés par Deeb. Selon des sources, il possède une société de conseil enregistrée dans la zone de libre-échange de Ras al Khaimah. Deeb a créé une fausse université en Norvège et il a utilisé de faux comptes Twitter et fait la promotion de ses activités.

BIC a des liens avec Dahlan

BIC a des liens apparents avec Dahlan et ceci est conclu à partir de deux sources. Il existe un lien fort entre BIC et Dahlan. L’ONG a des décennies d’expérience diplomatique et se concentre fortement sur les affaires du Moyen-Orient. Après avoir examiné la question, il a été découvert qu’un cabinet de conseil basé à Dubaï appelé Al Mezmaah Studies and Research Centre avait transféré 100 000 € au GNRD en 2013.

Le cabinet de conseil a également rédigé des rapports critiques sur le Qatar et publié de nombreux articles dans les médias arabes. BIC entretient également des liens étroits avec Dahlan et le prince héritier des Émirats arabes unis Mohammed bin Zayed. Abu Jazar Ramadan a également confirmé à Stavanger Aftenbladet qu’il connaît le nom de Mohammed Dahlan. BIC a probablement reçu des fonds des autorités officielles de Dahlan et des Émirats arabes unis.

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